L'introduction d'une taxe de séjour dans les îles Canaries est devenue un sujet de discussion considérable suite à l'annonce récente de la municipalité d'Antigua-et-Barbuda. Mogán. Cette taxe, dont l'entrée en vigueur est prévue pour janvier 2025, devrait avoir un impact sur les visiteurs et l'économie locale. Avec une taxe modeste de 15 centimes d'euro par personne et par jourCette mesure vise à relever les défis posés par un nombre croissant de touristes, tout en générant des revenus pour soutenir les infrastructures et les services locaux. Alors que l'archipel est aux prises avec les implications du surtourisme, des questions se posent quant à la possibilité que cette initiative crée un précédent pour d'autres régions et influence le paysage touristique des îles Canaries.
L'annonce récente de la municipalité de Mogán concernant la mise en œuvre d'une taxe touristique marque un changement important dans l'approche des îles Canaries en matière de gestion du tourisme. Cette initiative, qui devrait entrer en vigueur en janvier 2025, est destinée à soutenir les services et les infrastructures locales dans un contexte de préoccupations croissantes concernant surtourisme. Les frais modestes de 15 centimes d'euro par personne et par jour soulève des questions quant à l'impact plus large sur le paysage touristique de la région.
L'idée d'une taxe de séjour a suscité des réactions mitigées dans diverses destinations à travers le monde. L'introduction de cette taxe à Mogán pourrait potentiellement servir de modèle à d'autres municipalités des îles Canaries, suscitant des conversations sur la possibilité que de telles mesures deviennent une pratique courante dans l'archipel. Le tourisme contribuant de manière substantielle à l'économie des 35.5% au PIB régional, il est crucial pour les gouvernements locaux de trouver un équilibre entre l'afflux de visiteurs et la durabilité à long terme.
La raison d'être de l'initiative fiscale
Ils en ont assez de devoir supporter l'effort économique supplémentaire que les collectivités locales doivent consentir pour maintenir les services, les espaces publics et les infrastructures touristiques dans un état optimal. Sans parler de la nécessité de créer de nouveaux équipements pour rester compétitif.
Le maire de Mogán, Onalia Bueno
Les remarques du maire soulignent le besoin pressant de sources de revenus supplémentaires pour maintenir et améliorer les principaux services et équipements publics. Avec une estimation de 2,7 millions d'euros de perte de revenus en raison des charges imposées par l'afflux de touristes, cette initiative vise à combler ce déficit fiscal pour une ville d'environ 20 000 habitants, qui s'accroît considérablement pendant les saisons de pointe.
Implications pour les touristes et les entreprises locales
Contrairement à d'autres destinations qui ciblent principalement les visiteurs étrangers, la taxe de Mogán s'appliquera universellement à tous les touristes, y compris ceux qui résident sur le continent ou sur les îles voisines. Cette portée étendue pourrait susciter des réactions mitigées de la part de la communauté locale, en particulier parmi les fournisseurs d'hébergement. Les propriétaires d'hébergements touristiques seront chargés de collecter cette taxe et de la reverser au gouvernement local deux fois par an, ce qui pose des problèmes administratifs aux hôteliers et aux propriétaires de logements locatifs privés.
Le potentiel d'une adoption plus large des taxes de séjour
Avec le précédent créé par Mogán, d'autres municipalités des îles Canaries pourraient envisager des mesures similaires. Toutefois, l'avenir de ces taxes reste incertain. Alors que le tourisme est un moteur économique essentiel pour la région, les dirigeants locaux doivent mettre en balance les avantages de ces fonds et les risques potentiels de décourager davantage les visiteurs, en particulier à un moment où l'archipel connaît une augmentation du nombre de touristes.
Considérations juridiques relatives à la taxe
Il convient de noter qu'en Espagne, les municipalités n'ont traditionnellement pas le pouvoir légal d'imposer des taxes de séjour en tant que redevances autonomes. Ainsi, la mise en œuvre à Mogán a été présentée comme une redevance pour les services locaux, une construction juridique qui pourrait faire l'objet d'un examen minutieux. Cette approche créative souligne les complexités associées à un tel cadre fiscal et pourrait donner lieu à de futures contestations juridiques.
Le défi permanent du surtourisme
Cette initiative fiscale a pour toile de fond une inquiétude grandissante quant à l'avenir de l'Europe. surtourisme. Alors que les protestations contre le nombre excessif de touristes se multiplient, les municipalités sont contraintes de rechercher des solutions durables qui concilient le tourisme et la qualité de vie locale. La taxe de Mogán est présentée comme un outil permettant de financer des initiatives touristiques plus responsables, mais il n'est pas certain que ces mesures apaiseront les tensions entre les résidents et les visiteurs.
D'autres destinations ont déjà pris des mesures similaires ; par exemple, Valence a institué une taxe allant de 1,5 à 2,5 euros par mois. 0,50 à 2 euros par nuit. La tendance croissante des taxes sur le tourisme en Europe signifie un changement dans la manière dont les destinations populaires gèrent l'afflux de visiteurs et les pressions qui en découlent.
Une équation complexe pour les maires des îles Canaries
Lorsque les maires des îles Canaries envisagent d'instaurer des taxes touristiques, ils sont confrontés à une équation à multiples facettes. Comment peuvent-ils maintenir l'attrait de leurs régions tout en veillant à préserver à la fois le tourisme et le bien-être des communautés locales ? La taxe de séjour proposée semble être une solution attrayante, mais elle comporte également des risques et des défis inhérents qu'il faudra gérer à l'avenir.
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Considérations clés sur la taxe de séjour dans les îles Canaries
- Région introduite : Mogán, Grande Canarie
- Date d'entrée en vigueur : Janvier 2025
- Montant : 0,15 euros par personne et par jour
- Public cible : Tous les visiteurs, y compris les locaux
- Raison d'être : Soutenir les services et les infrastructures
- Recettes estimées : 2,7 millions d'euros par an
- Responsabilité de la mise en œuvre : Propriétaires d'hébergement
- Cadre juridique : Classé comme frais de service local
- Impact sur le tourisme : 35,5% du PIB en 2023
- Le problème du surtourisme : Résistance croissante des communautés locales
La municipalité de Mogánsituée à 93 kilomètres de Las Palmas sur Gran Canaria, a annoncé la mise en place d'un programme de formation à la gestion des ressources humaines. taxe de séjour à partir de janvier 2025, ce qui constitue une première dans l'archipel espagnol.
Cette taxe, d'un montant de 15 centimes d'euro par personne et par jourL'objectif est d'alléger la charge financière qui pèse sur les collectivités locales chargées d'assurer l'entretien de l'infrastructure de l'Union européenne. les services publics et des infrastructures en raison de l'afflux de touristes. Avec une estimation de 2,7 millions d'euros en pertes de recettes touristiques, la décision a un impact sur les visiteurs locaux et continentaux.
La gestion de la taxe incombera à propriétaires d'hébergements touristiquesLes municipalités espagnoles sont tenues de collecter et de reverser les taxes deux fois par an. La base juridique de cette taxe est quelque peu fragile, car les municipalités espagnoles n'ont traditionnellement pas le pouvoir d'imposer de telles taxes, ce qui pourrait donner lieu à des contestations à l'avenir.
Le tourisme contribue de manière significative à l'économie de l'Union européenne. L'économie des îles Canaries, avec une projection de 35,5% du PIB en 2023, cette nouvelle mesure soulève des questions sur la durabilité et la possibilité pour d'autres municipalités d'adopter des taxes similaires afin de gérer l'utilisation de l'eau. surtourisme.

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